Conteuse du jadis des hommes, des cités,
La beauté de tes sœurs n’a d’égal que la tienne.
Incarnation divine, alanguie et sereine,
O ! Sonne les trompettes de la renommée !
Valeureuse muse illuminant mes pensées,
Inculquant aux vivants les périodes anciennes
Stylet dans une main, telle une souveraine
Eclairant historiens, amoureux du passé.
Ma plume va, court, vole et noircit le vélin,
Ostentatoire envie de t’offrir cet écrin
Nimbé, auréolé de ta gloire, ma muse.
Ainsi, laisse-moi donc te dédier mes versets,
Muse ensorceleuse, pour toi les mots fusent
Et s’agencent ainsi pour t’offrir ce sonnet.
La beauté de tes sœurs n’a d’égal que la tienne.
Incarnation divine, alanguie et sereine,
O ! Sonne les trompettes de la renommée !
Valeureuse muse illuminant mes pensées,
Inculquant aux vivants les périodes anciennes
Stylet dans une main, telle une souveraine
Eclairant historiens, amoureux du passé.
Ma plume va, court, vole et noircit le vélin,
Ostentatoire envie de t’offrir cet écrin
Nimbé, auréolé de ta gloire, ma muse.
Ainsi, laisse-moi donc te dédier mes versets,
Muse ensorceleuse, pour toi les mots fusent
Et s’agencent ainsi pour t’offrir ce sonnet.